Attentats à Paris J2 – Quand le hasard fait bien les choses.

Pour moi qui avait déjà bien suivi les attentats contre Charlie Hebdo, la nouvelle m’a fait froid dans le dos…

Ainsi c’est de nouveau Patrick Pelloux, l’urgentiste et chroniqueur à Charlie Hebdo (j’avais déjà trouvé ça fort à l’époque) qui se trouve de nouveau être le porte parole des secours à la radio.

Attentats le 13 novembre 2015 à Paris : Patrick Pelloux, quand le hasard fait bien les choses....

Je ne sais pas si vous avez remarqué mais dans les media on invite toujours les même, ce qui à mon sens nuit complètement à la crédibilité de l’information, mais passons…

Écoutez bien l’extrait qui va suivre : il nous apprend que le hasard a fait que le matin même avait été organisé des exercices contre des attentats multi-sites et que donc ils étaient préparés.

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Cette information est confirmée dans cet article.

Comme tout bon attentat qui se respecte, le hasard fait qu’il y a souvent dans la journée, des exercices contre des attentats de même nature.

Cela renvoie complètement à mon article d’hier “Comment reconnaître un attentat sous faux drapeau”.

Plus le temps passe et plus les éléments semblent converger vers l’attentat false flag…


Si vous voulez n’avez pas encore de doute sur ceux contre Charlie Hebdo, voici un élément factuel nuisant gravement à la crédibilité de la version officielle : les témoignages complètement discordants de Sigolène Vinson dans le journal Le Monde et celui de la dessinatrice Coralie (“Coco”) dans l’Humanité.

Ainsi dans Le monde, Sigolène Vinson dit se souvenir que lors de la fusillade Coco était assise autour de la table de la rédaction :

Autour de la grande table rectangulaire sont assis, de gauche à droite à partir du seuil de la porte : Charb, Riss, Fabrice Nicolino, Bernard Maris, Philippe Lançon, Honoré, Coco, Tignous, Cabu, Elsa Cayat, Wolinski, Sigolène Vinson et Laurent Léger. L’invité, Michel Renaud, est assis sur une chaise dans un coin de la pièce. Luz et Catherine Meurisse, une autre dessinatrice sont en retard.
Tandis que la dessinatrice raconte dans L’humanité, qu’elle revenait d’aller chercher sa fille à la garderie :
Jointe par téléphone, alors qu’elle était encore sur les lieux de la fusillade, en état de choc, la dessinatrice Corinne Rey dite « Coco », témoigne : « J’allais chercher ma fille à la garderie, devant la porte de l’immeuble du journal deux hommes cagoulées et armés m’ont brutalement menacées. Ils voulaient entrer, monter. J’ai tapé le code. Ils ont tiré sur Wolinski, Cabu… ça a duré cinq minutes… Je m’étais réfugiée sous un bureau… Ils parlaient parfaitement le français… Se revendiquaient d’Al Qaïda ».
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