La révélations des pyramides est un documentaire extraordinaire sur la construction des pyramides en Égypte et leurs véritables rôles, réalisé par Jacques GRIMAULT et Patrice POOYARD.
Il aborde les points suivants :
- Les techniques de constructions des pyramides sont bien plus élaborées que ce que l’on pensait jusqu’à présent, avec une précision millimétrique dans l’assemblage des blocs de pierres.
- Il y a des construction similaires aux pyramides sur toute la planète, qui se trouvent alignés sur le même axe.
- La grande pyramide de Khéops contient dans ses dimensions, tout en tas de données mathématiques, qui ferait d’elle un outil de transmission des connaissances au fil des âges… supposant par la même occasion que les anciennes civilisations avaient connaissance de ces données avancées.
- Le site des pyramides, calquée sur des constellations, serait une sorte d’horloge astronomique informant de la nature cyclo-cosmique du temps, et servirait a informer des époques où allaient survenir de grands cataclysmes (cycle de précession des équinoxes).
Commentaire personnel :
Ce documentaire invalide donc complètement la vision linéaire du temps que l’on a avec une évolution constante. On prend conscience de la possibilité qu’il puisse y avoir de grand cycles astronomiques qui prennent fin avec un grand cataclysme, et dont les anciennes civilisations avaient connaissances.
Cela rejoint la cosmogonie de la tradition hindoue, et leur croyances en des cycles « Yuga » (allant de l’âge d’or à l’âge de fer) au cours desquels l’homme n’évolue pas mais dégénère (l’opposé de la vision linéaire du temps avec la théorie de l’évolution). En attendant un article de ma part sur le sujet, vous pouvez aller voir de quoi il en retourne sur Wikipedia.
En complément voici une conférence en 2 parties, très intéressante de Jacques Grimault intitulé « Une histoire cyclo-cosmique du monde » :
Et également une émission de 3 h 30 sur la libre antenne Meta TV où Jaques Grimault est l’invité :
A ce sujet, l’auteur Sandrine Desse expose l’idée suivante dans son livre L’histoire Proscrite: « …Ebloui, Cyril caressa respectueusement la pierre du Sphinx. Tout à son bonheur, il en oublia les hommes armés qui les escortaient. Alexis le couvait d’un regard souriant. Dominique, en sueur, peinait à les suivre. Son âge et son poids ne s’accommodaient pas à cette torride chaleur. « – Je suis en train de crever d’avoir fait trois pas et tu voudrais me faire croire que ce sont des humains qui ont construit ça ? Si c’était le cas, il y aurait plus de squelettes que de grains de sable, ici ! Alexis lui tapota doucement le ventre du bout de son index. – Cher ami, je pense que le principal secret réside dans une nourriture moins riche… – Ils étaient sensés porter bien plus sur leur dos que moi sur le ventre… Bon Dieu, je suis en train de cuire ! Cyril lui lança un regard incrédule, puis son visage s’illumina. – Si ça a l’air impossible, c’est qu’ils ne l’ont pas fait. L’explication la plus logique est toujours la plus proche de la vérité. Les théories les plus folles circulent pour expliquer le mode de construction de ces monuments. Une des théories qui fâchent le plus les égyptologues est celle de la pierre réagglomérée à partir de calcaire désagrégé émise par Joseph Davidovits en 1978. Et pourtant, les dernières recherches scientifiques tendent à lui donner raison, d’autant plus que le calcaire argileux est naturellement présent sur les lieux de la construction. Sa théorie visait à trouver une réponse pratique aux difficultés liées au transport, au levage ou à l’ajustement très serré des blocs, ainsi qu’à d’autres questions réputées insolubles comme la fabrication des statues et des vases de pierre dure aux formes fines et à… Lire la suite »
Bonjour,
Je vous remercie beaucoup pour votre contribution.
Il est vrai que les travaux de Joseph Davidovits commencent à être pris au sérieux.
Par rapport la presence de l’eau, l’Egypte n’a pas toujours été un désert, comme en atteste l’érosion du Sphinx par l’eau.
Concernent la comparaison avec l’utilisation du béton de nos jours, je ne sais pas si l’on peut mettre ça sur le même plan. Aujourd’hui on (l industrie surtout) ne voit plus que le côté utilitariste sans vraiment se soucier de la qualité du materiaux et de son rayonnement… Ni même de ses « performances énergétiques ».
Je ne pense pas non plus que l’on construise encore de nos jours des bâtiments ayant la même vocation que les pyramide à l’époque.
C’est le paradigme d’une évolution lineraire de l homme au fil des âges, qui pose le dogme comme quoi ils étaient moins évolués et ne pouvaient par consequent pas disposer de connaissances supérieures aux nôtres.
Et pourtant on peut le constater aujourd’hui : la connaissance s’est perdu et on est entrain d’essayer de remettre à jour des connaissances anciennes.