Voici les prédictions catastrophiques de Jacques Attali évoquées dans la vidéo :
“On pourrait découvrir que les vaccins contre l’actuelle pandémie ont été autorisés trop tôt, sous pression politique, et qu’ils ont des effets secondaires désastreux, ce qui conduirait à interrompre leur usage, et ramènerait le monde à l’obligation du confinement, pour des années encore.”
Source : Que peut-on espérer de 2021 ? (23 nombre 2020)
Personne n’ose vraiment penser à cette hypothèse, parce qu’on a le plus grand mal à admettre que cette pandémie est vraiment durable. Chacun préfère penser que ce cauchemar absurde finira bientôt ; soit naturellement, parce que toute pandémie antérieure a toujours fini par s’éloigner ; soit encore parce que les vaccins réussiront vite à la vaincre ; soit enfin parce que des traitements réussiront bientôt à rendre cette maladie bénigne, et sans conséquence à long terme. Soit enfin parce qu’on aura trouvé la cause ultime qui la rend grave, et qu’on aura réussi à s’y attaquer.
Seulement : voilà, rien n’est moins sûr. Et si on veut affronter vraiment l’avenir, dans toutes ses dimensions, il faut se préparer aussi au cas où cette pandémie est là pour très longtemps, en évaluer toutes les conséquences, et chercher à les écarter.”
Source : Où en serons-nous après le 8ème reconfinement ? (28 janvier 2021)
Les consommateurs, aujourd’hui, ne le ressentent pas vraiment, car, statistiquement, globalement, les prix, pour eux, restent relativement stables, et les hausses de certains produits, (tels en ce moment les carburants), sont compensées par les baisses d’autres, tels les équipements domestiques, ou les vêtements.
Et pourtant, tout se prépare pour qu’une très forte inflation se déclenche brutalement, ce que je nomme une « inflation discontinue ».
Et c’est là l’essentiel : ce ne sera pas une augmentation progressive de la hausse des prix, qui passerait de 2% à 3%, puis 4 %, et 5% par an, grignotant tout doucement le pouvoir d’achat des salaires et la valeur des épargnes, et qu’on pourrait arrêter en utilisant les armes classiques de la politique monétaire, qui sont les taux d’intérêt et la restriction du crédit. Ce sera une inflexion très brutale de la hausse des prix, qui passerait en un an de 2 à 8 ou 10%. Une inflation discontinue.”
Source : Les dents de la mer (27 octobre 2021)
Il est assez aisé d’établir un scenario du pire : une pandémie qui échappe aux vaccins, un effondrement des marchés financiers, des foyers de guerre jusqu’aux frontières de l’Europe, de grands pays comme l’Ethiopie qui se disloquent, des attentats, des mouvements extrémistes contradictoires, réclamant les uns qu’on efface toute trace des valeurs passées de l’Occident dans la mémoire du monde, et les autres au contraire qu’on y refuse toute influence étrangère. Tout cela est possible. Tout cela aura lieu.
Face à cela, le principal risque pour cette année, partout dans le monde, est une perte de contrôle des gouvernements, des entreprises, de chacun de nous, et plus généralement de l’humanité, sur le cours des choses. Avec des conséquences évidemment terrifiantes.
En France, on peut craindre l’élection d’un ou d’une président(e) qui se révèlerait sans pouvoir, sans majorité, incapable de tenir les innombrables et inévitables promesses électorales.”
Source : 2022 : l’année de l’impuissance ou de la souveraineté ? (15 décembre 2021)
Source : Le mois de tous les dangers (22 janvier 2022)
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